Club Med La Palmyre Atlantique (France)

Préambule

J’ai découvert ce club en juin 2019 lors d’un séminaire professionnel. Il n’était encore qu’un trois tridents mais le potentiel était présent. Bien situé, espacé et grand, une rénovation en ferait un quatre tridents puissant et agréable.

Un an plus tard, après une rénovation et une pandémie, me voilà en train d’annuler mon séjour à Da Balaia pour découvrir La Palmyre rénové.

Le transport

C’est en voiture que je me suis rendu au club. Celui-ci est facile d’accès et doté d’un grand parking pouvant accueillir beaucoup de véhicules. Coût du parking : 60€ à payer à votre arrivée. Si vous préférez garder cet argent pour autre chose, vous pouvez garer votre voiture dans les rues de La Palmyre.

Le village

Situé à l’extrémité de La Palmyre, le village est près de la forêt de la Coubre. Entouré de pin, bordant la mer et bercé par les vagues, sa situation vous emporte vers l’apaisement et le calme. Votre bracelet est le sésame pour ouvrir la grille menant à la plage et la piste cyclable. Vous pourrez profiter de la plage selon votre envie (pour info, il n’y a pas d’espace CM sur la plage).

Le village est grand et espacé, je n’ai jamais eu la sensation d’être entassés les uns sur les autres. Il faut un peu de temps pour le traverser mais c’est très agréable. La végétation est omniprésente, belle et bien entretenue. Vous pouvez oublier quelque chose dans votre chambre, un aller-retour n’est pas une punition.

Tout est regroupé au centre du village : piscine, restaurant principal, théâtre, bar principal, réception et boutique. Juste à côté se trouvent les terrains de tennis et le tir à l’arc. En redescendant vers le parking, les chambres sont dans des petites maisons à étage ou non, pouvant regrouper jusqu’à quatre chambres (attention insonorisation moyenne si vos voisins sont sourds).

En allant vers la plage, vous trouverez l’espace « Cordouan » qui est composé de petites maisons (1 maison / 1 logement) très agréables. Au bout du chemin, le restaurant Gourmet Lounge La Belle Epoque et le spa. Le terrain de foot et celui de Beach volley bordent la piste cyclable.

Le long du golf, vous trouverez des logements « loft » colorés. Ils sont récents et dates de la rénovation du club. Ils sont juste à côté de la (petite) piscine zen. Y trouver un transat est mission impossible et le côté zen ne se fait clairement pas ressentir, une déception pour moi…

L’hébergement

En chambre supérieure, nous avons eu droit à un logement au bout de l’allée 400, juste avant l’hébergement des GOs. La chambre est grande et dotée de quatre couchages répartis dans deux espaces avec chacun une TV. Les chambres sont très bien rénovées, elles sont claires et il y a des prises de courant / usb partout pour recharger tous nos appareils. La salle de bain est grande, bien éclairée et les toilettes sont séparés. Une petite terrasse se tenait devant notre fenêtre avec deux chaises, vue sur la pinède pour nous détendre. Les deux espaces nuits sont climatisés si besoin.

Le seul bémol est l’insonorisation au point d’entendre la TV des voisins…Nous avons vu avec la réception qui nous a déplacé dans une chambre sans voisins, ce fut largement plus agréable. La chambre était une vraie belle surprise.

Les restaurants et bars

Le restaurant principal est l’Atlantic, il est immense et découpé en plusieurs espaces. Exit la grande cantine sombre, nous sommes dorénavant dans un espace clair et le bruit est maîtrisé. La qualité de la nourriture est excellente, nous avons toujours eu du choix, les quantités sont bonnes. En plus, rien ne vous empêche de retourner vous servir si besoin.

Le personnel est sympathique, agréable et serviable. Efficacité est le maître mot au sein de ce restaurant.

Le second restaurant, La Belle Epoque, est le gourmet lounge de La Palmyre. Le constat est le suivant : tous les repas étaient excellents, que ce soit le midi ou le soir avec une équipe au top. Des GOs sympathiques qui rendent le passage en ce lieu idyllique. La vue mer y est somptueuse, apportant une touche apaisante à un lieu déjà pas loin de la perfection.

La Belle Epoque

Les bars sont situés près de la réception, à la Belle Epoque et vers la piscine zen. Toutes les boissons étaient bonnes, préparées consciencieusement par des GOs agréables. Les moments de détente y étaient savoureux.

Que ce soit pour les boissons ou pour la restauration, il n’y a rien à redire sur la prestation fournie, ce fut excellent !

Les activités

Au Club Med, les activités sont reines, il y en avait un paquet dont je ne vous ferai pas la liste. Celle-ci est disponible sur internet. Je ne vais parler que de celles pratiquées.

Les piscines : La piscine centrale est grande et chauffée, on y trouve des couloirs de nage, il fait bon y prendre un bain et s’y détendre au soleil. Elle est bien évidemment au coeur du village. La piscine zen, quant à elle, ne nous rend pas zen…Petite, jamais de places disponibles (les serviettes se reposent sur les transats), je n’ai pas trouvé cet espace zen. Habitué à celui de Da Balaia, celui de La Palmyre est peau de chagrin…j’ai du mal à y trouver l’intérêt de m’y détendre tant il n’est pas au calme.

Le VTT : Inscription la veille au soir pour le lendemain, les balades sont par niveaux. Le matériel est fourni (vélo + casque) et des GOs vous emmènent en balade dans les environs. La balade fut agréable et bien encadrée. Cela reste une balade en groupe, il faut donc se caler sur les rythmes de chacun et tout est bien géré.

Le float fit : Activité sur la piscine, vous êtes sur un genre de grand paddle et vous reproduisez les mouvements indiqués par la GO. Grands moments de fous rires en perspective, les chutes sont légions et les exercices réels. Une séance de sport dans la bonne humeur.

Le tir à l’arc : Un pas de tir agréable, ombragé et bien situé. Nous avons été accueillis par Maxence et Aurélien qui furent d’excellents animateurs et coaches. Le tournoi était dynamique et bien géré. Une belle activité bien agréable à faire au moins une fois par jour.

La planche à voile : Tout débute par un tour de petit train touristique qui nous emmène à la base nautique de La Palmyre. Accueillis par une bande de GOs motivés et dans la bonne ambiance, nous avons eu droit à des leçons de planche par deux GOs passionnés (je ne me rappelle plus de leurs prénoms, je suis désolé). Ils ont su nous faire progresser en deux jours et je les en remercie pleinement. L’espace CM de la base nautique est très bien fait et pratique. Ne loupez pas ce spot !

Conclusion

En passant à quatre tridents, le Club Med La Palmyre Atlantique tire profit de tout son potentiel. Ses grands espaces vous permettront de passer un séjour paradisiaque au coeur de la pinède. J’ai retrouvé l’ambiance du Club dans un décor parfait.

Beaucoup de points positifs qu’il est difficile d’énumérer tant ils sont nombreux. Mes bémols : l’espace zen et l’insonorisation des chambres.

Je recommande chaudement ce Club Med, il est beau, grand, agréable et pas loin. Le paradis proche de chez nous.

Mes autres séjours au Club Med

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🇵🇹 Club Med Da Balaia 🇵🇹

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🇵🇹 Circuit Madère fleur de l’océan 🇵🇹

« Madère, fleur de l’océan » en circuit Club Med

Après une expérience en circuit particulièrement réussie au Canada avec le Club Med, nous avons retenté l’expérience sur l’île portugaise de Madère. Le Club Med propose un programme alléchant et surtout un groupe composé de seize personnes au maximum. Nous avons pris une extension à notre circuit, une semaine au Club Med Da Balaia afin de profiter au maximum de la météo estivale fin septembre.

Une fois sur place, nous découvrons que notre groupe compte seulement six personnes, accompagné de la guide locale et du chauffeur. Ça commence très bien ! 😃

Le transport

Les vols étaient opérés par TAP Air Portugal, avec une escale à Lisbonne pour tous nos trajets (Paris – Madère – Faro – Paris). Les avions sont biens, certains offrent plus de place aux jambes que d’autres et le personnel de bord est charmant. Nous n’avons pas eu à déplorer de gros retard malgré un départ poussif de Lisbonne en direction de Faro.

L’hébergement

Contrairement au circuit au Canada, nul besoin de changer d’hôtel chaque jour. C’est vraiment appréciable de ne pas avoir à faire/défaire quotidiennement sa valise et garder ses marques.

Nous étions hébergés à la « Quintinha de Sao Jao« , à quinze vingt minutes à pied environ du centre de Funchal en fonction du sens dans lequel vous empruntez la pente… Un hôtel à l’ambiance très agréable, un personnel chaleureux et des espaces bien agencés pour bien profiter.

L’hôtel est doté d’une piscine extérieure ainsi que d’une piscine intérieure, d’une salle de jeux, d’un spa (payant), un bar et un restaurant. La chambre était immense avec un lit king size, un espace salon avec canapé, une très grande salle de bain et un balcon.

Il était très agréable de pouvoir profiter des services de l’hôtel au retour des journées de visite.

Les restaurants

Ma plus grande crainte, lors d’un circuit, est de me retrouver à manger de la nourriture industrielle dans des restaurants à touristes dont l’unique but est de faire du profit.

Lors de notre escapade à Madère, ce fut tout l’inverse. Nous avons mangé dans de très bons restaurants. Les repas furent succulents et la quantité servie digne d’un banquet de fin d’album d’Astérix.

Tout était bon, les viandes, les poissons, les légumes, les fruits, les pâtisseries… Nous nous sommes régalés, les madériens savent faire la cuisine et ça se sent. Le choix des restaurants était parfait, ce fut un vrai régal pour nos papilles et une découverte culinaire quotidienne.

Nous avons dîné plusieurs fois à l’hôtel dont le restaurant était limite gastronomique. Les serveuses et serveurs étaient aux petits soins pour nous. Les petits déjeuners étaient variés, sucrés ou salés, nos ventres n’ont jamais crié famine.

Les activités

Notre circuit était parsemé de découvertes, promenades libres, de commentaires, visites-shopping et repos. L’équilibre était parfait. Avant de partir, je trouvais qu’il y avait beaucoup d’après-midis libres qui furent finalement bienvenus.

Nous avons parcouru Madère de long en large, traversé je ne sais combien de tunnels pour, à chaque fois, découvrir des paysages magnifiques. Chacun d’entre eux est différent et nous étions à chaque fois ébahis.

Certaines activités comme la visite d’une broderie ou d’une fabrique d’objets en osier sont à faire mais ne sont franchement pas épanouissantes, cela fait partie de l’histoire de Madère, cela les rend « incontournables ».

Le circuit

Le rythme du circuit est nickel, tout est fluide et la taille de l’île permet de ne pas avoir à se farcir des centaines de kilomètres par jour. Le groupe réduit permet de s’arrêter beaucoup plus facilement qu’avec un bus de soixante personnes.

Comme dit précédemment, les après-midis libres sont les bienvenus pour vous reposer ou visiter Funchal à votre rythme. La proximité de l’hôtel avec le centre ville ne nous oblige pas à faire de longues marches pour rentrer ni à trouver un moyen de transport alternatif.

Les « randonnées » le long des levadas ne sont pas d’un niveau élevé, elles permettent d’apprécier des paysages magnifiques loin de la clameur citadine. Baskets, veste et kway doivent être présents dans votre sac à dos.

Les accompagnateurs

Ana fut notre guide durant la semaine. Cette native de Madère nous a fait découvrir son île de par ses commentaires dans un français impeccable. La passion ressortait de ses textes et sa formation en botanique était un plus indéniable lors de nos visites.

Mr Paolo et Mr Ugo étaient nos chauffeurs, le premier toute la journée, le second le soir lorsqu’il nous accompagnait au restaurant.

Conclusion

Encore une fois, l’expérience du circuit Club Med fut très bonne. Même si parfois j’aurais préféré ne pas avoir à ressortir pour dîner, il faut avouer que ce sentiment était vite dissipé lorsque nous arrivions sur place.

La taille réduite du groupe favorise la proximité entre participants et accompagnateurs, chacun profite parfaitement de chaque chose et personne.

Nous avons découvert Madère de fort belle manière, avec une organisation impeccable et des accompagnateurs charmants.

Vous pouvez choisir ce circuit les yeux fermés, vous en serez ravis.

Le lien vers le site des circuits Club Med : https://www.clubmed.fr/i/Mad%C3%A8re-fleur-de-l%E2%80%99oc%C3%A9an/y

🇧🇸 Club Med Columbus Isle 🇧🇸

🇲🇻 Club Med Kani Maldives 🇲🇻

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🇫🇷 Club Med Sant’Ambroggio 🇫🇷

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🇬🇷 Club Med Grégolimano 🇬🇷

Club Med Grégolimano (Grèce)

Le transport

C’est Transavia qui a opéré le vol affrété par le Club Med entre Paris et Volos. L’enregistrement et les formalités aéroportuaires se sont très bien passées.

Filiale d’Air France KLM, le personnel a été très agréable et l’embarquement efficace, nous avons décollé à l’heure à l’aller et avec un peu de retard au retour qui fut vite rattrapé. Le Boeing 737-800 de la compagnie est confortable et suffisamment grand pour ne pas se sentir oppressé si vous êtes en issue de secours. Mesurant 1m90, je ne voyagerais pas plus de trois heures avec cet espace aux jambes aux places normales.

Nous avions déjà eu cette compagnie pour notre séjour à Da Balaia, je mets un second bon point.

L’aéroport de Volos est basique, les bagages arrivent vite et en les attendants les G.O distribuent vos pass. C’est bien optimisé. Les bagages sont chargés dans des camions et les G.M dans des bus pour ensuite rejoindre le bateau.

Le village

Situé sur l’île d’Eubée en Grèce, il faut environ 45 minutes de bus et 45 minutes de bateau pour rejoindre le village depuis l’aéroport de Volos. Il paraîtrait que depuis Athènes ce soit un peu plus long. Il est situé en bord de mer au pied d’une montagne.

Vous arriverez par le ponton principal, ça sent bon les vacances ! Le village est composé de plusieurs bâtiments et la réception principale est au sixième étage de l’Acropole. Les infrastructures sont au coeur de la pinède, le centre du village est au niveau de la piscine et du bar, juste à côté du restaurant principal. C’est normalement là que vous passerez le plus clair de votre temps.

Le village est assez grand pour ne pas avoir une sensation d’empilement. Si vous devez aller dans les étages, armez vous de patience parce que les ascenseurs sont longs…très longs…très très longs…

Nous avons opté pour ne pas avoir à faire de multiples aller-retours vers la chambre en prenant tout le nécessaire avec nous dès le matin.

L’hébergement

Nous avons eu une chambre club dans le bâtiment Acropole, au neuvième et dernier étage (on compte depuis la mer). Il s’agissait d’une chambre communicante avec balcon donnant sur la montagne.

Notre chambre était composée d’un grand lit avec deux chevets, une table sous la TV suspendue au mur, d’un banc, d’un balcon, d’une armoire, d’une salle de bain et toilettes non séparés.

On sent que le club a vieilli, elle mériterait un vrai coup de jeune et d’être un peu plus grande, on a vite très peu d’espace.

Comme nous étions sous le toit, nous étions de facto sous les moteurs de clim (ou autre) qui tournent à plein régime. Un bruit lancinant se fait entendre qui est heureusement coupé la nuit. La chambre est climatisée, c’est très agréable de pouvoir rafraichir la température avant d’aller se coucher.

La chambre n’a rien de transcendant mais est-ce vraiment grave dans la mesure où vous n’y serez que pour dormir ? A voir selon vos goûts…

Les restaurants et bars

Le club comporte deux restaurants, les Pléiades et l’Oléa Lounge.

Les Pléiades est le restaurant principal, ouvert matins, midis et soirs. C’est un restaurant classique Club Med avec un service buffet. Vous y trouverez largement de quoi vous rassasier. J’ai cependant trouvé l’offre inégale, certains repas je voulais tout manger et d’autres quasiment rien. Le restaurant est bruyant, le repas n’est pas forcément un moment de détente. D’ailleurs beaucoup de G.M ne s’y attardent pas trop longtemps…

Le second restaurant, l’Oléa Lounge, est ouvert toute la journée pour vous permettre de grignoter à tout moment et prendre vos petits déjeuners tardifs. Le soir, c’est service à table sur réservation. Il faut réserver la veille pour le lendemain. J’ai trouvé la qualité de la nourriture supérieure à celle des Pléiades. Nous y avons aussi déjeuné et l’avantage de ce restaurant est flagrant : le calme…

Le bar est ouvert dès le matin et toute la journée, impeccable pour vous rafraîchir. Les serveurs sont nombreux et l’attente raisonnable. Bien évidemment, vous aurez droit à l’apéro le matin et le soir, ainsi qu’au goûter.

Les activités

Le club propose une multitude d’activités plus ou moins sportives. Il est doté d’une petite salle de fitness et vous trouvez les détails des activités sur le site du Club Med.

Nous avons fait du tir à l’arc, de la pétanque, du stand-up paddle et pas mal de repos à l’ombre de la pinède en bord de mer ou tout simplement autour de la piscine. Il faisait tellement chaud qu’il était compliqué de pratiquer des sports en plein cagnard.

Rien à redire sur les activités proposées, c’était assez bien organisé et les G.O étaient vraiment agréables.

Deux points négatifs dans ce club. Le premier pour la boutique dont les tarifs sont excessivement chers, surtout pour la ligne Club Med, à vous faire passer l’envie de ramener un souvenir.

Le second point négatif est à attribuer aux photographes affiliés. Ils sont insistant(e)s, trop présent(e)s et d’une lourdeur… Ils sont agaçants, j’ai passé la semaine à repousser leurs assauts photographiques. Ce racolage me hérisse le poil, j’avais presque envie de faire des détours pour ne pas croiser ces « lourds »…

Conclusion

Ce Club Med a vraiment un cadre très agréable. Tout en restant en Europe, vous aurez la sensation d’être parti à l’autre bout du monde. Cette impression se ressent d’ailleurs un peu lors du transfert depuis l’aéroport que j’ai trouvé un peu long.

Sa taille vous fera faire des pas mais vous savourerez chaque recoin du village. On y trouve de multiples ambiances pour notre plus grand bonheur. Nous avons réellement apprécié ce village et sa végétation luxuriante. Nous avons totalement déconnecté du quotidien, ce fut de vraies vacances comme le Club Med sait le faire. La douceur de vivre est aussi à Grégolimano

Mes autres séjours au Club Med :

Club Med Da Balaia (Portugal)

l’Est Canadien en circuit Club Med

Club Med Sant’Ambroggio (Corse)

Club Med La Pointe aux Canonniers (Ile Maurice)

Club Med Kani Maldives

Club Med Columbus Isle (Bahamas)

 

La cagnotte en ligne Lyf Pay

Qui dit cagnotte en ligne dit…Leetchi n’est-ce pas ?

Pour ma part, ce ne fut pas le cas, surtout après avoir vu les frais ponctionnés sur le montant total d’une cagnotte Leetchi si vous ne dépensez pas l’argent chez un partenaire.

N’ayant pas envie de rentrer dans le processus de dépense chez un partenaire ou de création de compte par le bénéficiaire, j’ai cherché une autre option. Je me suis alors rappelé avoir installé une application de paiement sur mobile pour le festival Chorus des Hauts-de-Seine et y avoir vu la mention « votre cagnotte ».

J’ai donc exploré les conditions générales et les tarifs. Quelle bonne surprise de voir qu’il n’y avait pas de commission pour un virement sur mon compte. J’ai donc innové en faisant confiance à Lyf Pay.

Qu’est-ce que Lyf Pay ?

Il s’agit avant tout d’une application de paiement avec mobile valable dans une multitude d’enseignes. Vous trouverez justement la liste dans l’application. Il suffit d’ajouter sa carte dans l’appli et c’est parti !

J’ai fait tout le process avant d’aller au festival Chorus mais comme nous avons choisi un restaurant qui n’était pas partenaire de Lyf Pay, point de réduction et point de paiement mobile.

Si vous souhaitez plus d’informations sur le paiement avec Lyf Pay, c’est par ici : https://www.lyf.eu/fr/

La cagnotte

Pour la cagnotte, tout se passe sur l’application aussi. Vous créez la cagnotte en moins de cinq minutes, vous envoyez le lien et c’est fait ! Il n’y plus qu’à attendre que les personnes « cotisent ». Vous serez prévenus de chaque versement par mail et une notification sur votre smartphone.

Tout s’est très bien passé ! Une fois la cagnotte clôturée, j’ai récupéré l’argent sur mon porte-monnaie Lyf Pay. Puis j’ai effectué un virement sur mon compte dont j’avais préalablement renseigné l’IBAN dans l’application.

Deux jours plus tard, l’argent était viré sur mon compte sans la moindre commission prélevée.

Pour plus d’informations sur la cagnotte : https://www.lyf.eu/fr/utilisateurs/cagnotte

Bilan

Je ne peux que recommander la cagnotte Lyf Pay. Tout s’est passé comme sur des roulettes, il n’y a effectivement pas eu de commissions ni prélèvement surprise. Les personnes ont pu participer via leur application ou par carte bleue 💳

Profitez de cette cagnotte avec aucun frais tant que cela existe, cela vaut vraiment le coup !

Hôtel Séquoia Lodge à Disneyland Paris

Photo @disneyland

Depuis 1992 je rêve d’aller dans un hôtel Disney durant une visite au parc d’attraction de la célèbre souris. 26 ans plus tard, ce rêve devient réalité.

Est-il à la hauteur de mes espérances ? La magie Disney a-t-elle opéré ?

Les formalités d’arrivée

Lorsque vous séjournez dans un hôtel Disney, vos billets d’accès aux parcs vous attendent à la réception de l’hôtel. Pas besoin de payer l’accès au parking visiteurs habituel. Vous garerez votre véhicule sur celui de l’hôtel après présentation de votre convocation.

La taille de l’hôtel est démesurée, c’est immense et ça fourmille de gens. La machine Disney est en route, tout est bien rôdé, l’attente est raisonnable (pas comme pour les attractions). En moins de temps qu’il faut pour le dire, vous voilà doté de vos Magic Pass (entrées aux parcs) et vous pouvez laisser vos valises à la bagagerie.

Je n’ai pas le temps de réaliser que je suis déjà assis dans la navette gratuite qui m’emmène vers les parcs. Les formalités ont été admirablement bien gérées et de manière très efficace.

Photo @disneyland

L’accès aux parcs

Pour vous rendre dans les parcs, deux possibilités s’offrent à vous. Soit vous optez pour les navettes gratuites, soit vous choisissez la marche à pied. Pour avoir testé les deux options, je préconise la marche.

En effet, impossible de savoir quand arrivera votre navette et donc de connaître votre temps d’attente. Le trajet n’est pas spécialement rapide et comme dans les transports d’île de France, les places sont chères.

A pieds vous mettrez environ dix minutes, quoiqu’il arrive…c’est très confortable. En cours de journée vous pouvez revenir à l’hôtel pour profiter de la piscine ou simplement vous reposer un peu.

Après une journée à crapahuter dans les parcs Disney, c’est vraiment génial de savoir que quinze minutes plus tard vous serez tranquilles dans votre chambre.

A savoir aussi que le fait de séjourner dans un hôtel vous permet de bénéficier d’une heure supplémentaire dans les parcs avant l’ouverture au public. Nous concernant, nous sommes rentrés dans les parcs à 8h au lieu de 9h. Ceci nous a permis de faire « Aerosmith » deux fois d’affilée avec un temps d’attente moyen de moins de cinq minutes. C’est avantage est non négligeable !

La chambre

Je ne vais pas vous faire languir, la chambre n’est clairement pas à la hauteur de mes espérances. Pas de magie Disney dans celle-ci, il faudra vous contenter de celle des parcs.

Nous étions dans un « lodge », c’est à dire un bâtiment extérieur au bâtiment principal. J’appellerais plutôt ça un dortoir de colonie de vacances. Du sols en lino bas de gamme et des moquettes d’un autre âge auréolées d’une odeur pestilentielle.

Photo @disneyland

La chambre a une taille raisonnable avec deux lits Queen size. Une table, une console sous la TV ainsi qu’une salle de bain complètent la dotation.

Au Séquoia Lodge, on sent bien le poids des années. Les prises de courant sont désolidarisées du mur, il y en a que deux ou trois. Vous serez d’ailleurs dans l’impossibilité de recharger vos téléphones sur la table de nuit parce qu’il n’y a pas de prises près du lit.

La salle de bain est fonctionnelle mais vieille, les peintures sont cloquées à certains endroits. Celle-ci est divisée en deux parties, l’une avec la baignoire et les toilettes qui ferme à clé, la seconde est un genre de vestibule avec le lavabo et le miroir. C’est spécial mais sûrement optimisé pour les familles de quatre personnes.

Rien à reprocher sur l’insonorisation ou c’est simplement parce que nous avons eu des voisins respectueux, je ne saurais pas dire.

Bilan

Si vous voulez vivre la magie Disney, ce n’est pas au Séquoia Lodge que vous devez aller. Celui-ci vous permettra un accès facile aux parcs et de vous reposer en journée. C’est un hôtel dortoir, ni plus ni moins.

La literie était confortable et nous avons bien dormi. Les heures de « magie en plus » (accès au parc avant les visiteurs) sont un atout considérable pour faire les attractions très demandées puisque vous y avez droit chaque jour de votre séjour, pas uniquement le lendemain de votre nuitée.

J’ai vu le côté pratique de l’hôtel mais je n’ai pas eu ce que je voulais vraiment : en prendre plein les yeux et m’émerveiller en parcourant l’hôtel. Il me vient alors une question : faut-il nécessairement séjourner dans l’hôtel Disneyland pour en prendre plein les mirettes ? Si oui alors seules les personnes avec un gros budget ont la possibilité de s’émerveiller…

Club Med Da Balaia (Portugal)

Le transport

C’est Transavia qui a opéré le vol affrété par le Club Med entre Paris et Faro. Nous avons pu choisir nos places trois semaines avant le départ (payant) et l’enregistrement a été une formalité rapide à l’aéroport.

Filiale d’Air France KLM, le personnel a été très agréable et efficace. L’embarquement a été efficace, nous avons décollé à l’heure et sommes arrivés en avance à l’aller comme au retour. Le Boeing 737-800 de la compagnie est confortable et suffisamment grand pour ne pas se sentir oppressé.

Un vrai bon point pour cette compagnie, certaines devraient largement s’en inspirer.

A l’aéroport, des G.O étaient présents pour nous diriger vers les bus. Après la remise de nos bracelets-clés, départ pour Da Balaia. Certains diront que ce n’était pas assez clair, j’ai trouvé ça largement suffisant. Nous sommes des adultes, pas des enfants…

Le village

Situé à une trentaine de kilomètres de Faro, à Albufeira en Algarve au sud du Portugal, il faut environ 45 minutes pour rejoindre le village depuis l’aéroport. Il est situé en haut d’une falaise en bord de mer.

L’entrée se fait par un grand hall magnifique où se trouve la réception, le village est composé de plusieurs bâtiments : Belem, Fado Coimbra et Fado Lisboa. Ceux-ci entourent toutes les infra-structures hormis la piscine zen qui se trouve un peu à l’écart.

Le village est sur plusieurs niveaux, les escaliers et ascenseurs feront donc partie de votre quotidien lors de vos déplacements. Au début on a l’impression de se perdre dans les couloirs mais après une journée, plus de problèmes pour se repérer et trouver le meilleur chemin.

L’hébergement

Nous avions choisi une chambre club dans le bâtiment Belem parce qu’elle avait une plus grande surface annoncée que dans les bâtiments Fado. Le Belem est le bâtiment de la réception, vous pourrez alors aisément surveiller les arrivées et départs du club. 😉

Nous étions au quatrième et dernier étage du bâtiment, proche d’un ascenseur et loin des escaliers.

Notre chambre était composée d’un grand lit avec deux chevets, une table sous la TV suspendue au mur, d’un fauteuil, d’un grand balcon, d’une armoire peu pratique, d’une salle de bain et de toilettes séparés.

Celle-ci était vraiment agréable et fraîchement rénovée. Le lit était confortable et notre balcon donnait sur la mer et le mini golf. L’armoire est trop petite pour ranger les affaires de deux personnes, le coffre fort monopolisant une étagère entière.

Le bâtiment Belem ayant un hall haut de quatre étages, ça résonne pas mal…boules quiès indispensables si les bruits vous dérangent. Selon les dires d’autres G.M, le pire est réservé aux chambres proches des escaliers. Ainsi, je préconise pour le Belem, les chambres ayant un numéro inférieur ou égal à X10 (X représentant l’étage).

Dans les bâtiments Fado, la vue mer est en option payante parce que le bâtiment donne des deux côtés, ce qui n’est pas le cas du Belem.

Nous avons apprécié notre chambre et l’avons trouvé vraiment à la hauteur de nos espérances.

Les restaurants et bars

Le club comporte deux restaurants, le Balaia et le Vasco.

Le Balaia est le restaurant principal, ouvert matins, midis et soirs. C’est un restaurant classique Club Med avec un service buffet. Le choix y est varié et l’attente raisonnable en hors saison. La salle n’est pas bruyante et nous avons vraiment bien mangé. La nourriture n’est pas grasse et les quantités servies sont raisonnable. Nous n’avons pas eu la sensation d’opulence ni de manque, le parfait équilibre.

Le second restaurant, le Vasco, est ouvert toute la journée pour vous permettre de grignoter à tout moment et prendre vos petits déjeuners tardifs. Le soir, c’est service à table sur réservation. La demande est grande, il faut s’y prendre à l’avance. Nous l’avons testé et le côté « guindé » nous a un peu déplu d’autant plus que la qualité de la nourriture n’est pas forcément supérieure à celle du Balaia. Le dîner service à table n’apporte pas de plus indéniable si ce n’est de ne pas avoir à vous lever entre les plats.

Il y a deux bars à Da Balaia, le bar de la piscine et le Vasco Lounge. Ces bars sont ouverts toutes la journée avec des ambiances différentes. Les G.O barwomen et barmen sont agréables et souriants. Comme ils sont ouverts tout le temps, pas d’attente interminable pour avoir vos boissons, c’est génial ! Le bar de la piscine proposait aussi les apéros, goûters et les jeux café.

Les activités

Le club propose une multitude d’activités plus ou moins sportives. Il est doté d’une petite salle de fitness qui remplit parfaitement son rôle. Vous trouvez les détails des activités sur le site du Club Med.

Nous avons fait du tir à l’arc, du beach-volley, mini-golf, initiation golf, pilates et body-balance ainsi que du repos bien mérité à la piscine zen ou sur les transats en contrebas de la piscine principale.

Concernant la piscine zen, celle-ci est très excentrée du centre du village et interdite au moins de 18 ans. Vous y serez au calme, vous baignerez dans une eau sans chlore et il y a un bar pour vos rafraîchissements. Certains transats ont vue sur mer et nous avons trouvé cet endroit idéal pour nous détendre.

Rien à redire sur les activités proposées, c’était assez bien organisé et les G.O étaient vraiment agréables.

A noter que sur la plage vous pouvez faire du canoë (inclus) et qu’il y a aussi l’activité trapèze volant qui a fait pas mal d’heureux.

Les animations

C’est le nerf de la guerre d’un club et à Da Balaia, le bon équilibre a été trouvé. Il y en a suffisamment pour vous divertir sans vous gaver et je trouve cela très important. Les G.O en charge des animations sont parfaits.

Les incontournables spectacles du soir sont bel et bien présents et de très bonne qualité. Dans un théâtre magnifique et technologiquement à la pointe, nous avons assisté à de véritables shows.

Les spectacles étaient suivis d’une ambiance night-club dans une salle parfaitement insonorisée pour ne pas déranger les dormeurs. Belle initiative pour préserver le bien-être de tous.

Conclusion

Nous avons trouvé à Da Balaia la qualité d’un Club Med quatre tridents. Les bâtiments sont beaux et agréables, l’offre de restauration est qualitative, healthy et les horaires d’ouverture sont bons. Les bars ouverts toute la journée apportent un plus indéniable à vos vacances.

Les activités et animations sont top, il y a peu de chances de vous ennuyer à Da Balaia. Les G.O et le chef de village sont tous sympas, agréables et motivés. S’il devait y avoir un point négatif, je dirais simplement que l’attention portée aux G.M est trop focalisées sur les « anciens » et les familles. Quelques fois, nous nous sentions invisibles…

Ma vidéo pour vous faire une idée du Club Med Da Balaia

Le site du Club Med Da Balaia : https://www.clubmed.fr/r/Da-Balaia/y

Mes autres séjours au Club Med :

l’Est Canadien en circuit Club Med

Club Med Sant’Ambroggio (Corse)

Club Med La Pointe aux Canonniers (Ile Maurice)

Club Med Kani Maldives

Club Med Columbus Isle (Bahamas)

 

J’ai visité France Miniature (Elancourt 78)

Depuis longtemps j’ai envie de voir la France depuis le ciel. N’ayant pas la capacité d’effectuer une montée au ciel malgré le fait qu’aujourd’hui soit le 15 août, j’ai dû me résoudre à trouver une autre solution. J’opte donc pour une visite du parc France Miniature situé à Elancourt (78).

Qu’est-ce que France Miniature ?

Ce parc, situé en région parisienne, reproduit la France en miniature sur un espace aménagé en carte de France. Il me semble que les maquettes sont réalisées au 1/30ème et les distances entre les villes ne sont pas respectées. En plus de cet espace, il existe aussi une zone avec des attractions en libre-service.

Comment ça se passe ?

Nul besoin d’EPO pour entreprendre ce tour de France, d’ailleurs ce ne sera pas à vélo mais à pieds que vous parcourrez notre beau pays. Un itinéraire balisé vous permettra de visiter le pays du Sud au Nord et d’Ouest en Est. Bien évidemment vous passerez par la zone des attractions, le Fort Boyard pour relever les défis du Père Fouras et près des restaurants et de la zone de pique-nique pour faire le plein d’énergie.

Des panneaux vous situent et vous donnent des informations sur ce qui est sous vos yeux. Le temps de parcours est raisonnable et pensé pour les plus petits. En effet, sans enfants, vous serez limités en attractions disponibles et arpenterez plus vites les allées.

Les maquettes sont plutôt bien faites dans l’ensemble. Il ne faut pas regarder de trop près mais plutôt prendre le recul nécessaire pour apprécier le monument dans son ensemble. Ainsi vous éviterez de voir les quelques imperfections causées par le temps qui passe, c’est mieux !

Les trains, voitures, cours d’eau et bateaux sont eux aussi présents sur cette carte de France géante. Ils jalonnent votre parcours, permettant d’avoir toujours quelque chose à regarder.

Un tour de France à moindre frais qui pourra vous donner envie de voir des choses « en vrai » et vous remémorera les souvenirs de visites passées.

C’était comment ?

Je ne vous cache pas que le bilan de cette visite est mitigé. Je m’en faisais peut-être une idée trop belle…J’ai vraiment apprécié le concept de ce pays miniature et parcourir toutes ces villes au gré d’une visite rondement menée.

Cependant, on remarque bien que le parc n’est pas récent, qu’il a quelques années. Certains « monuments » sont usés et mal entretenus. Les trains ne sont pas mieux, on voit les dominos sur les fils électriques, idem pour les voitures dont plusieurs ont perdu leurs roues par exemple.

Maintenir le parc dans un bon état général et de propreté serait un plus indéniable. Les toilettes ne sont pas très propres à 12h, de la mousse sur les maquettes, des algues dans les plans d’eau et un cadavre d’oiseau devant le Château de Chenonceau. C’est dommage !

Le parc mérite un grand rafraichissement pour le rendre plus agréable. Les espaces pique-nique ne font pas envie, les attractions sont sympas mais ça sent le vécu aussi. Seule l’attraction Fort Boyard donne une impression de modernité et dégage bien l’ambiance du jeu télévisé.

Tout ça fait un peu décati et le tarif à l’entrée n’en reste pas moins élevé (20€/adulte). Allez-y si vous obtenez une bonne réduction sinon vous risquez de pester. Le tarif du parking est raisonnable, 3€ que vous paierez à la caisse du parc contre un jeton pour sortir.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à m’en faire part en commentaires.

J’ai testé les écouteurs Anker SoundBuds Slim +

Aujourd’hui, je vais vous faire un retour sur des écouteurs achetés sur Amazon début juin. J’ai attendu quelques semaines d’utilisation pour faire un retour correct et cohérent.

(Cet article n’est pas sponsorisé)

Je croyais que tu n’aimais pas les écouteurs Bluetooth ?

Peu adepte des écouteurs Bluetooth (encore un truc à recharger), je me cantonnais à l’utilisation d’écouteurs filaires. Mais le câble m’agaçait franchement durant mes quelques sessions de running ou simplement lorsque j’écoutais de la musique en déplacement.

Ayant un iPhone, je me suis logiquement penché sur le cas des EarPods mais le prix me rebuta quelque peu, d’autant plus que certaines fonctions (gérer le volume par exemple) étaient dépendantes de Siri.

An-quoi ?

Durant mon étude de marché, un commentaire utilisateur mentionnait les SoundBuds Slim + de la marque Anker. Je connaissais cette marque pour ses batteries externes mais n’avais jamais entendu parler de ses accessoires audios.

Ni une ni deux, me voilà sur la page Amazon de ces écouteurs et je lis les commentaires dithyrambiques des acheteurs. C’est perturbant de ne voir que du positif et si négatif il y avait, Anker a fait le nécessaire pour corriger le tir.

Le tarif du jour est 25,99€, ce qui reste raisonnable mais me laisse penser que la qualité sonore risque de ne pas être au rendez-vous. Tant pis, je tente et je me lance.

48h plus tard

J’ai les écouteurs entre les mains, la qualité de fabrication est au rendez-vous. Je les allume et les connecte sans mal à l’iPhone. Je lance Deezer et le son est…suspense…vraiment top ! Il y a ce qu’il faut de basses pour apprécier la musique et les aiguës ne sont pas agressifs.

Toutes les commandes se font via la télécommande des écouteurs (volume, changement de piste, Siri, etc…). Les écouteurs sont aimantés et tiennent autour du coup lorsque vous les laissez pendre, je suis fan. Les écouteurs sont résistants à l’eau (IPX5), idéal pour la transpiration durant le footing mais n’envisagez de nager avec.

Les accessoires fournis sont nombreux pour s’adapter à votre taille d’oreilles. Il y a même une housse rigide et son mousqueton pour les ranger. Sans oublier bien évidemment le câble micro USB pour les recharger.

En parlant de recharge, quid de l’autonomie de ces écouteurs ? Je n’ai pas calculé précisément (d’autres le font bien) mais je peux écouter la musique durant une journée entière (avec parcimonie) sans qu’ils s’éteignent. Je penche pour 5h minimum en écoute et la recharge est rapide avec un chargeur de 2A, sinon Anker annonce environ 1h30.

Bilan

J’ai été agréablement, même très agréablement surpris par ces écouteurs. Leur qualité de fabrication, le son et les fonctionnalités sont bel et bien au rendez-vous. Après quasiment deux mois d’utilisation, je n’ai rien à leur reprocher.

En plus le tarif est vraiment abordable sans nous voler sur le produit. Il semble aussi qu’Anker soit très réactif via Amazon et fasse le nécessaire pour que tout se passe bien pour les clients. La garantie est d’ailleurs de 18 mois.

Les + :

– le son

– le prix

– l’autonomie

Les – :

– la pochette de transport/rangement bien trop grande

Liens

Site Anker : http://www.anker.com

Les écouteurs sur Amazon : https://www.amazon.fr/Anker-%C3%89couteurs-SoundBuds-Slim-Bluetooth/dp/B0756T7R5T

J’ai assisté au vernissage de Richard Orlinski

Tout a commencé par une notification Instagram sur mon téléphone, le compte officiel de Richard Orlinski vient d’aimer un de mes commentaires.  Qu’ai-je bien pu lui écrire pour que l’émotion gagne sa community manager au point de se laisser aller à montrer ses sentiments ?

Tout simplement ça : 

Avouez que ça fait son petit effet non ?

J’ai participé à un concours lancé sur son compte Instagram afin d’assister à la présentation de sa nouvelle oeuvre inédite et rencontrer l’artiste. Aimant particulièrement « ses animaux », je ne me suis pas fait prier et Ô joie, j’ai gagné !

Samedi 2 juin

Me voici dans le très chic XIIIème arrondissement de Paris, au 68 du Faubourg Saint Honoré. Le rendez-vous est à 15h, il est 14h30 et j’arrive devant la galerie Orlinski. Il y a déjà une cinquantaine de personnes qui attendent en plein cagnard et maintenant moi aussi.

Nous entrons dans la galerie, les œuvres sont toutes là, j’ai envie d’en ramener une ! Un ours polaire blanc d’environ 1m80, gueule ouverte, qui serait très bien dans mon salon. Bien évidemment, je n’essaie pas d’en connaître le prix.

Nous nous entassons dans ce petit espace, je ne sais pas combien nous sommes, en revanche c’est très « convivial ». N’y aurait-il pas un peu trop de monde ? Les serveurs nous proposent petits fours et boissons, pendant que nous nous agglutinons devant la sculpture recouverte d’un drap noir.

15h30

Richard Orlinski arrive enfin, il prononce un bref discours et demande de découvrir l’oeuvre. Le rhinocéros rouge apparaît sous nos yeux, enfin sous nos yeux derrière les 125 smartphones qui photographient, snapchatisent ou instagramisent la bête. Il faudra se rapprocher pour l’admirer.

C’est un bien joli rhinocéros mais ce n’est pas mon animal préféré. L’ours, le loup et le lion restants dans le haut de mon classement.

La suite de ce vernissage est digne d’une aventure d’Indiana Jones. Etape 1, traverser la galerie bondée pour accéder au photo call afin de garder un souvenir impérissable de mon passage en ce lieu. Etape 2, traverser à nouveau pour aller récupérer les cadeaux à l’attention des participants. Etape 3, accéder à l’escalier qui nous mènera à l’artiste : Richard Orlinski.

Les deux premières étapes furent laborieuses mais néanmoins accomplies avec succès. Concernant la troisième étape, j’ai abdiqué. C’était un peu l’épreuve des poteaux de Koh-Lanta : planté debout sous la chaleur sans bouger, après tout ce temps à attendre, je n’avais plus la patience. Dommage Richard, tu n’as pas pu me rencontrer ! 🙂

18h00

C’est en marchant sur les Champs-Elysées que je prends l’ampleur de ce que j’ai vécu : le vernissage d’un artiste que j’apprécie et mondialement connu. J’espère vraiment pouvoir vivre ça à nouveau avec Richard Orlinski. Même si je n’ai pas pu le rencontrer, il m’a donné l’image de quelqu’un d’accessible et sympathique. Par contre, je l’imaginais bien plus grand que ça 🙂

A bientôt pour une nouvelle oeuvre ou simplement visiter cette galerie pleine d’œuvres que j’aime.

J’ai quitté Android pour iOS

Préambule…

Mon aventure dans le monde de la téléphonie mobile a démarré avec un Siemens B615 de Bouygues Telecom, j’avais 18 ans. En 2009, j’ai eu mon premier smartphone sous Android après une période sous (le laborieux) Windows Mobile. L’iPhone premier du nom était tentant mais hors de portée de mon budget.

Il était une fois Android

Débutée avec un HTC Hero, l’aventure Android passera par le très réussi Nexus S de Samsung et Google. Puis j’ai succombé au charme du Galaxy S3 et après un furtif passage avec un HTC One A9, je suis revenu chez Samsung : S5, A5, S7 et le magnifique S8 !

Selon moi, le S8 est le plus beau téléphone de Samsung. Son écran incurvé a la définition dantesque, l’autonomie est était parfaite ainsi que des photos magnifiques de jour comme de nuit. Bravo !

Après dix années sous Android, je gère la configuration de mes smartphones en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Gestion des paramètres, optimisations diverses pour augmenter l’autonomie, synchronisation des comptes et récupération des messages. En moins d’une heure, chaque nouveau téléphone est opérationnel et utilisable sans perte. La classe non ?

Avec le S8, j’ai l’impression d’avoir atteint le Nirvana du smartphone Android.  Réactif, beau et puissant, je me prends pour un photographe en devenir tellement les clichés sont beaux. De nuit c’est encore mieux, je me suis autoproclamé le roi de la photo « by night ».

Le chemin de croix des changements de versions Android

Le fait d’avoir le flagship d’un constructeur comme Samsung fait que votre téléphone est voué à recevoir la mouture suivante d’Android. Ainsi un S8 sorti avec Nougat recevra Oreo, selon le bon vouloir de Samsung bien évidemment.

Le constructeur a respecté son engagement en déployant Oreo sur le S8. À chaque mise à jour majeure, je me demande si je fais bien parce que chaque mise à jour détruit l’autonomie de mon smartphone. On ne change pas une équipe qui gagne, Samsung a dégradé mon S8 avec sa mise à jour.

J’ai bien tenté de revenir en arrière en flashant l’ancienne rom avec l’outil ODIN mais le mal est fait. J’ai perdu le magnifique smartphone que j’appréciais tant, la coupe est pleine !

Croquer la pomme 

Ma décision est prise, je bascule du côté de la pomme dont on m’a tant vanté la fiabilité. J’opte pour l’iPhone X et son immense écran. Après un S8, difficile de revenir à un smartphone sans un grand écran. Ai-je pris la bonne décision ? Vais-je m’en sortir ?

J’ai déjà un iPhone 6 pour mon travail, je suis donc un peu habitué à l’ergonomie Apple. La qualité matérielle est au rendez-vous, cet iPhone X est vraiment beau ! Il m’avait tapé dans l’œil lorsque je l’avais vu dans les mains de certains.

Je créée mon compte Apple, je connecte mon compte Gmail, j’installe une application de transfert de données pour retrouver mes SMS et mes photos sont sur Flickr. Mis à part les multiples validations de sécurité Apple, la mise en route se passe bien et j’ai récupéré toutes mes données sur l’iPhone. Je suis ravi !

Mettre une sonnerie personnalisée est une gageure , il m’aura fallu quasiment deux jours pour trouver quelle manipulation faire avec iTunes et l’iPhone. Heureusement que je ne souhaite pas changer de sonnerie tous les deux jours.

Après quelques jours, je ne regrette pas d’avoir migré et je trouve cet iPhone X vraiment plaisant. Les gestes mis en place en remplacement du bouton disparu sont naturels. On s’y fait vite et son utilisation est agréable.

Un mois et demi plus tard

Les jours ont passé et je suis toujours aussi fan de cet iPhone X. Je comprends pourquoi beaucoup ne jurent par Apple tant les menus et actions sont intuitifs. Même avec toute la bonne volonté des constructeurs de smartphones Android, c’est bien plus facile à faire avec un iPhone.

Face ID est juste génial ! Très réactif et pratique (les notifications sur l’écran verrouillé ne s’affichent que pour moi) je ne peux plus m’en passer. C’est nettement mieux que la reconnaissance d’empreintes Android ou Apple qui fait souvent des siennes.

L’encoche tant décriée n’est pas du tout gênante et surtout cet iPhone X a une autonomie a faire pâlir un Android a grosse batterie. En utilisation intensive (très intensive) je finis une journée avec 40% de batterie restante, je suis ravi !

Globalement séduit par cet appareil et iOS, je reste néanmoins un peu déçu par les photos. Le S8 était vraiment meilleur, surtout de nuit. Le transfert de photos vers un autre appareil non Apple n’est pas possible. Je ne l’utilise pas souvent c’est vrai mais le jour où j’en ai besoin, ça m’agace un peu d’avoir à passer par le cloud ou des mails.

Je remarque aussi que les applications sont plus jolies sur iPhone, mieux finies et plus fluide. Je pense que ceci est dû à un cahier des charges plus rigoureux et au nombre de modèles à rendre compatibles limité.

Conclusion

Ce changement d’OS créait une petite appréhension en moi mais finalement tout s’est bien passé. Ce ne fut pas du tout compliqué et j’ai su apprivoiser la pomme pour en apprécier la qualité et sa facilité.

Certains points sont mieux chez Apple que chez Android mais la réciproque est vraie aussi. Ils ont chacun leurs points positifs et négatifs. Seule votre utilisation et votre ressenti vous permettra de choisir.

Ce qui est sûr c’est que, pour le moment, je suis vraiment content d’avoir changé d’OS et mon quotidien avec iOS semble bien parti pour durer.

Si vous avez des questions ou même besoin d’aide pour basculer d’un OS à l’autre, n’hésitez pas à me solliciter dans les commentaires.